Service de presse n°59

Traversées a reçu :

Les recueils suivants :

  • A fleur de peau, suivi de Interview

Catherine Andrieu

Ficelle n°141, Atelier Rougier, Les Forettes, F-61380 Soligny-la-Trappe ; 2020

www.rougier-atelier.com

https://www.catherineandrieu.fr/a-fleur-de-peau/

  • A l’heure où les fauves dorment, poésie

Patricia Suescum

Citadel Road éditions, 2019,np

https://www.babelio.com/livres/Suescum–lheure-ou-les-fauves-dorment/1198321

  • Baie Saint-Paul, roman

Jean-Manuel Saëz

M.E.O., 2020, 175 pages

Quand John Mac Dolan, il y a bien des lustres, est arrivé dans le Grand Nord, nul ne lui a demandé qui il était ni d’où il venait. Il faisait partie des nombreux aventuriers qui ont fait la réputation de cette région canadienne depuis la Ruée vers l’or, envers lesquels les autochtones ne montraient aucune curiosité. Mais lui, ce n’était pas la fortune qu’il venait y chercher. Quand à ce qu’il y a trouvé…

Pour Camille Dorchamp, hôtesse de l’air parisienne, c’est la lettre d’un improbable shérif qui va la relancer dans une quête abandonnée depuis longtemps…

  • Branche d’acacia brassée par le vent – Huit mouvements

Florence Noël

Le chat polaire, 2020, 58 pages

Inspirés par le Cantique des cantiques, voici huit moments d’une rencontre amoureuse sous un acacia agité par le vent que Florence Noël vous invite à vivre comme huit mouvements mettant en musique les saisons d’une vie d’amour.

  • Brèches, poèmes

Bernard Schürch

Editions Rafael de Surtis, collection Pour un Ciel désert, 2019, 75 pages

  • Citations pour un jour de pluie

Fémi Peters

BoD (Books on Demand), 2019, 47 pages

Faites-vous partie de ces gens qui, au cours de leurs lectures, sursautent et s’en vont chercher un cahier pour noter une phrase qui les a touchés ? Faites-vous partie de ces gens qui partagent et commentent une citation sur les réseaux sociaux ? Peut-être même en imprimez-vous certaines pour les afficher sur votre mur, ou bien sur le frigo, ou encore en face de votre bureau, afin de vous donner du courage, pour vous inspirer, pour vous faire rêver. Bienvenue au club.

Fémi Peters est écrivaine, romancière, nouvelliste et poétesse. Passionnée de citations, elle avait envie de partager avec vous quelques-unes des citations qu’elle affectionne. En fin d’ouvrage, elle vous propose quelques-uns de ses propres poèmes.

Chacune des citations est illustrée par des photographies de Laure Seguinaud, soigneusement choisies.

  • Dans les broussailles du silence, poèmes

Marie-Christine Guidon

Prix d’édition poétique de la Ville de Dijon 2020

Poètes de l’Amitié, 2020, 48 pages

  • De toutes mes farces

Eric Dejaeger

Cactus inébranlable éditions, 2020, 63 pages

  • Des fleurs et des mots

Textes de Vénus Khoury-Ghata

Photographies de Michelle Gros

L’autre regard éditions, 2019, 63 pages

Des fleurs et des mots : magie des arts et de la poésie ! Magie des rencontres improbables ! Magie du hasard qui a fait que deux belles personnes aux parcours si différents ont pu se croiser, se rencontrer et s’apprécier au point de devenir les meilleures amies du monde dans la complicité d’un commun émerveillement devant la beauté naturelle…

En résulte de livre, véritable cadeau de fleurs et de poèmes, bouquets magiques qui rendent soudain la vie plus belle et plus légère.

  • La dette, suivi de Le dessein et de La destinée, poésie

Miloud Keddar

Parole & Poésie, 2019, np

  • Dites trente-trois, poésie

Patrick Picornot

Parole & Poésie, 2019, np

  • L’européelle, roman

Gérard Leyzieux

Stellamaris, 2019, 191 pages

Jean rencontre Lydia à Kiev fin 1980 juste avant son départ pour la Grèce avec son mari. Elle le quitte très rapidement pour rejoindre Jean à Paris ; sa fuite commence par la Bulgarie d’où elle ne sortira jamais. Jean l’a attendue en vain et dix ans après il se lance à sa recherche. D’abord à Athènes puis, dans le Sud de la Bulgarie, à Melnik.

Au fil de son parcours, Jean va être confronté à une série d’événements surnaturels qui vont apporter confusion et doute à son esprit scientifique. A l’image de « baba Vanga », la voyante prise dans une tornade dans sa jeunesse, tout semble s’animer, tourner, tourbillonner dans la tête de Jean. La fusion avec l’irréalité transfigure la réalité. Jean part sans Lydia mais science et magie s’uniront pour résoudre l’énigme de cette traversée de l’Europe et… elle.

  • Exquises petites morts, nouvelles

Liliane Schraûwen

M.E.O., 2020, 143 pages

L’amour… On le cherche, on le poursuit, on le fait et le défait, on en jouit, on en souffre. On le change, l’écrit, le peint, le joue et le feint… On meurt pour lui, ou l’on tue. Mais que recouvre ce mot ? Nous aimons Dieu (parfois), notre patrie (rarement), nos parents, nos enfants. Nous aimons rire et chanter,  nous aimons le sport, le cinéma, et même le chocolat ou le bon vin. Nous aimons nos rêves, nous aimons aimer. Nous aimons, aussi et surtout, cette moitié d’orange dont on nous a dit et répété qu’elle existe, qu’elle est là, quelque part, à nous attendre, et qu’elle comblera tous nos désirs, tous nos besoins. Le même terme pour désigner tant de choses : possession, jouissance, domination, jalousie, volupté, tendresse, sacrifice… Depuis toujours, Eros et agape jouent à cache-cache pour mieux nous tromper. Parfois, ils se trompent eux-mêmes, et tout dérape. Le bus fait une embardée, la déception nous dévore, la belle endormie oublie de se réveiller, la foudre frappe pour de bon… 

  • Formes de la lumière, poésie

Arnoldo Feuer

Les Lieux-dits, 2019, 33 pages

  • Les hibiscus sont toujours en fleurs, roman

Monique Bernier

M.E.O., 2020, 190 pages

Charlotte, une fillette européenne, et Daniel, un garçon rwandais, ont grandi ensemble pendant cinq ans, jusqu’au génocide de 1994. 

Vingt ans plus tard, dans un moment de désarroi, Charlotte revient au Rwanda. Elle a l’intention de retrouver Daniel et de se replonger dans ce pays qui l’avait chassée. Elle retrouve des connaissances rwandaises, fait des rencontres et découvre peu à peu l’histoire de son ami en même temps que les complexités du pays.

Daniel, de son côté, souffre toujours. Le passé est désespérément présent. Il ne sait pas que Charlotte le recherche. 

  • Histoire édifiante des vies et gestes de Feu Robertson, poésie

Sharl Hot Ganache

Partycyl System ; partyculsystem@rocketmail.com

https://quartierlibre.co/partycul-system-feu-robertson-vitaphone

  • Hors-jeux, poésie

Aumane Placide

Parole & Poésie, 2019, np

  • Ici, à nous perdre, poèmes

Luminitza C. Tigirlas

Illustration de couverture de Doïna VIERU

Editions du Cygne, 2019, 70 pages

Ici à nous perdre s’écri(e)t et se donne à lire d’un seul souffle : Le mot n’y est plus en extase de fuite. Ici est bouche qui hurle / aphone / sans esquiver / le halètement de la moribonde, c’est une toupie du visible et sa pointe tourne comme s’il y avait urgence à refixer l’univers du poème — la vie même, car Ici est resté en dehors de l’Amie disparue. Dans l’après Ici, seul l’amour n’est pas à perdre, il pénètre l’invisible, il traverse la nuit du long adieu où la paume de celle qui doit respirer sa nouvelle solitude est trop chaude…

  • Il y a très longtemps… il faisait beau, album jeunesse

Textes et dessins de Jeanne Champel-Grenier

France Libris, 20 pages

  • Indicateur de la ligne du ciel, poèmes

Jean-Pierre Luminet

Cherche midi, 2020, 108 pages

« princesse des lumières et des vents

les étoiles défileront dans des yeux infinis

et la mer

ta vaste mer

je la verrai poudroyer de vapeurs blondes

tourbillons d’astres clairs dans mes gouffres vermeils

écume ardente faite avec les mondes

houle insondable

où bout la mousse de tes soleils »

Scientifique de  réputation mondiale mais féru de poésie depuis son plus jeune âge, Jean-Pierre Luminet publie ici son neuvième recueil. Une œuvre de maturité alternant noirceurs et lumières, dont l’expression poétique montre une connaissance subtile de l’âme humaine, et où l’érotisme joue un rôle central.

  • Intimes

Laurent Bayssière

Interventions à Haute Voix, 2020, 44 pages

« Intimes deux souffles primevères

audaces de l’hiver clochettes

d’ivoire tintinnabulent des syllabes

d’envies au champ des rires

de nos enfants »

  • Langues terriennes 
    • Langue maternelle, notes
    • Nuit inverse, Jean-François Agostini

Xavier Makowski

La Bergeronnette, nd, np

  • Lilith, l’amour d’une maudite

Nicole Hardouin

Préface d’Alain Duault

Librairie-Galerie Racine, Paris, 2020, 75 pages

https://revue-traversees.com/tag/nicole-hardouin-lilith/

  • Menthes-Friches, poèmes

Barbara Auzou

5 Sens, 2020, 101 pages

Menthes-Friches est né d’une volonté de parler « plus loin que la saison hostile » comme le suggère la lettre 2 de la section « Dans l’Atelier ». Qu’elle soit variation autour de la menthe, de l’arbre à soie, du jardin plus généralement, il y a des secrets qu’on n’élève qu’au bleu du silence et c’est la main qui prépare la rencontre. La tranquillité familière cherche son bonheur dans son sachet de lavande, l’armoire son masque dans un feutre mou. Et la beauté poétique son ultime espace à faire feu… 

  • La nuit porte jarretelles, poèmes

Béatrice Libert

Cactus inébranlable, 2020, 56 pages

Béatrice Libert, qu’on a connue dans une tout autre vie littéraire, s’emploie ici à se révéler digne descendante d’un Tardieu ou à passer du scolaire parodié (qu’on lise ses problaimes (sic) revus à la hausse de l’hilarité générale) à quelques pages d’un dictionnaire complice pour saluer le grand poète liégeois disparu ! Vous apprécierez cette étonnante détourneuse d’autant plus que d’entrée de jeu, elle vous prie d’avancer vers le fond du poème. Il n’y a pas que la forme en effet, il y a le ciboulot qu’on met en question ! Même avec un entonnoir sur la tête, on peut réfléchir, pas vrai ?

Jean-Pierre Verheggen

  • Paroles données, paroles perdues ?

Asbl La Strada, rue de l’Association, B-1000 Bruxelles

268 pages, 14€

Le monde de la rue depuis l’expérience des premiers concernés accueillier lors de discussions entre sans-abri, travailleurs sociaux, quidams, dans des lieux d’accueil bruxellois.

  • Le pli des leurres

Luminitza C. Tigirlas

Z4éditions, Daniel Ziv, Le Monthury, F-39300 Les Nans

z4editions@gmail.com

www.z4editions.fr

Voici la présentation du livre qu’en fait l’auteure :

« Après avoir publié des poèmes, des essais littéraires et des nouvelles, le Pli des leurres est mon premier livre de fiction, que je dédie à Sarah Kane, auteure de la pièce 4.48 Psychose.

Inspiré par la rencontre de sujets tout aussi exigeants envers le langage que la dramaturge Sarah Kane l’avait été elle-même, mon nouvel ouvrage se fendille comme une bague de châtaigne sur un texte dramatique où le supplice psychique du personnage d’Oète se diffracte dans un théâtre intime à plusieurs voix… »

« Il y a des vides entre mon avis et mon intuition. Tout le monde vivra ce que je vis. Entre de telles pensées, pas de repos. Je ne peux pas révéler ce que je sais.

Toute vérité venant de ma part risque d’être mise sur le compte de la pathologie. » Extraits

« Demander l’impossible aux mots et se rebeller si fort contre l’aphasie ue les mots se mettent à dire. Les mots qui savent mieux que le locuteur. Les mots par où ça parle à travers l’éblouissante écriture de Luminitza C. Tigirlas n’arrêtent de spiraler dans cette fiction par les ténèbres de la souffrance vers l’issue, la délivrance. Ne pas arriver à dire – et dire quand même, envers & contre tout, obstinément, passionnément. Leçon de courage, d’audace, de vie avec le personnage d’Oète dans Le pli des leurres. » Lambert Schlechter

  • Positions pour la lecture – Promenades (lectures – écriture – ateliers), textes, articles

Daniel Simon

Couleur livres, 2019, 137 pages

De façon profonde, la lecture a vécu une véritable mutation ces dernières décennies. Internet, la disparition brutale du temps long, la dispersion des attentions dans les réseaux… et, par ailleurs, une métastase de livres dans la confusion des édités et autoédités.

Le contexte de la lecture, son sens, ses enjeux ont changé. L’auteur pose un regard méditatif, parfois corrosif, souvent enchanté sur cette pratique fragile qui est de passer du temps à lire… de la littérature.

Il rassemble ici des réflexions au fil de ses expériences d’écrivain, d’animateur d’atelier d’écriture, de lecteur, de critique, d’éditeur…

  • Près de la goutte d’eau sous une pluie drue, poèmes

Serge Núñez Tolin

Rougerie, 2020, 69 pages

https://poezibao.typepad.com/poezibao/2020/05/note-de-lecture-serge-près-de-la-goutte-deau-sous-une-pluie-drue-par-marc-wetzel.html

  • Rouilles, textes en prose

Françoise Louise Demorgny

Isabelle Sauvage éditions, 2015, 86 pages

  • La sourde oreille et autres menus trésors

Béatrice Libert, Poèmes ; Pierre Laroche, Collages

  • Le temps suivi de Notre-Dame, poèmes

William Cliff

La Table ronde, 2020, 122 pages

Le Temps pourrait finalement être le titre général de l’oeuvre, abondante et géneuse comme une fête breughélienne, de William Cliff.

Le temps dont il est question ici, c’est celui perdu et retrouvé de l’éternel explorateur de lui-même et du monde qu’est William Cliff, maître de la prosodie fantasque, subtil docteur de la rime et de l’assonance, enchanteur qui sait varier ses métamorphoses en créant le rythme entêtant qui vous invitera à le suivre là où il veut vous emmener, en l’occurrence sur les chemins de sa jeunesse extravagante : locataire improbable d’une mansarde bruxelloise où le précédent occupant a laissé ses seringues de toxicomane, professeur sans vocation dans un lycée plein de jolis garçons, inspecté plus qu’à son tour pour sa désinvolture pédagogique, oscillant entre la recherche d’un radiateur à gaz pour se réchauffer et l’épuisement d’une canicule sous les toits. Mais le poète s’en tire toujours, fragile et joyeux. L’inspecteur lui pardonne puisqu’il lit Rimbaud à ses élèves et célèbre avec eux l’aube d »été qu’on embrasse à pleine bouche

Comme Raymond Queneau dans Chêne et Chien ou Georges Perros dans La Vie ordinaire, William Cliff s’inscrit dans la tradition des autobiographes de la strophe qui réconcilient la poésie et la narration. Et le sarcasme et l’autodérision, ici, se livrent à une partie serrée et sans vainqueur avec la nostalgie et le lyrisme provocateur.

Le Temps est complété par un codicille de 1996, un long poème sur Notre-Dame, adresse parnassienne et prophétique à cette cathédrale que Cliff aime parce qu’elle est « ferme et tranquille au milieu des ravages », comme un amer dans une existence flottante et incertaine.

  • Trajectoires tronquées, nouvelles

Gérard Le Goff

Stellamaris, 2020, 177 pages

Dix nouvelles. Dix histoires. Dix parcours interrompus. Souvent de façon imprévisible. Parfois de manière brutale. Toujours chaotiques.

Après avoir lu ces récits, peut-être éprouvez-vous une appréhension incontrôlable quand vous garerez votre véhicule dans un parking souterrain ? Assisterez-vous encore à un spectacle de cirque avec votre regard habituel ? Allez-vous redouter votre prochain sommeil parce qu’il pourrait vous conduire au seuil d’un cauchemar ? Arpenterez-vous toujours avec insouciance les couloirs du métro ? Rêverez-vous sans a priori de l’auxiliaire ménager parfait ? Vous aventurerez-vous s l’ombre d’un pressentiment dans les ruines d’un monastère ? Ferez-vous confiance à un détective privé ? Vous méfierez-vous de la peinture ? Aborderez-vous n’importe qui dans un pays étranger ? Embarquerez-vous sans méfiance à bord d’un bateau sans vérifier au préalable sa destination véritable ?

Alors : lire ou ne pas lire, c’est toute la question…

Les revues suivantes :

  1. Les Amis de l’Ardenne 65, septembre 2019 ; Vouziers, France

Dossier Thomas Owen, Prince du fantastique

  1. Art et poésie de Touraine ; St-Cyr-sur-Loire, France
  2. Athena, le mag scientifique, 345, janvier-février ; 5100 Jambes
  3. Le bibliothécaire ; 4/2019, 1/2020 ; Genappe, Belgique
  4. Le carnet et les instants ; 203, juillet 2019, 204, septembre 2019, 205, janvier 2020 ; Bruxelles, Belgique
  5. Chronique des musées gaumais ; 242, 1er semestre 2019, 243, 2ème semestre 2019 ; Virton, Belgique 
  6. Comme en poésie ;81, mars 2020 ; 82, juin 2020 ; Une trentaine de poètes à chaque numéro, une rubrique « Lectures » de Jean Chatard, « La cité critique » de Jean-Pierre Lesieur ; 84 pages A5 ; Hossegor, France
  7. Concerto pour marées et silence ; 13-2020
  8. Coup de soleil ; 108/109, juin 2020 ; spécial Béatrice Bonhomme ; Annecy, France
  9. Debout les mots ; 76, janvier 2020, Bruxelles, Belgique
  10. Eclats de rêves ; 66, 2ème semestre 2019 ; 67, 1er semestre 2020 ; Gaillac, France
  11. Florilège ; 178, mars 2020, Dijon, France
  12. Le Gletton ; 525-526, janvier-février 2020, 527 à 530, mars à juin 2020 ; Dans le numéro de juin, un bel article sur Jean-Luc Geoffroy, « Le plus gaumais des ardennais »,qui a oeuvré en qualité de responsable du Service du Livre Luxembourgeois et a cru dès le départ en la revue Traversées ; merci infiniment à son soutien et à ses conseils précieux ; Chantemelle, Belgique
  13. Gong ;66, janvier à mars 2020 ; Rillieux-Le-Pape, France
  14. Interventions à Haute Voix 61, 1er trimestre 2020, Demain ; Chaville, France
  15. Lectures – Cultures 18, mai-juin 2020 ; 1080 Bruxelles, Belgique, www.bibliotheques.be 
  16. La lettre de Maredsous 49ème année, 1, avril 2020 ; Yvoir, Belgique
  17. Libelle 318 à 322, janvier à août 2020 ; Paris, France
  18. Nos lettres ; 33, mars 2020, Bruxelles, Belgique
  19. Reflets Wallonie-Bruxelles ; 63, janvier à mars 2020 ; 64, avril à juin 2020 ; Bruxelles, Belgique
  20. Septentrion ; 48ème année ; 3, 3ème trimestre 2019 ; 4, 4ème trimestre 2019, Rekkem, Belgique
  21. Soleils & cendre ; 133,avril 2020 ; Rouge – quelque chose palpite ; Bollène, France
  22. Traction-Brabant ; 87, février 2020 ; 88, mai 2020, Montigny-les-Metz, France