« tais la bouche enflée de nids d’effrois, tournes-y sept fois le manque »…
Belle maîtrise de la langue, regard lucide sur l’existence, mais sans pathos inutile,
rien que l’élégance et toute l’impertinence de la jeunesse.
Dommage que je ne pourrai pas être à Bertrix ce jour-là. Peut-on espérer une trace
de cette rencontre dans un prochain numéro de « Traversées » ? …
« tais la bouche enflée de nids d’effrois, tournes-y sept fois le manque »…
Belle maîtrise de la langue, regard lucide sur l’existence, mais sans pathos inutile,
rien que l’élégance et toute l’impertinence de la jeunesse.
Dommage que je ne pourrai pas être à Bertrix ce jour-là. Peut-on espérer une trace
de cette rencontre dans un prochain numéro de « Traversées » ? …
Claude Miseur
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