L’alouette / réveille tes blessures / et va planter son cri / au plus secret / de la morsure de l’air. / Certaine de sa chute, / elle accumule un peu d’ivresse / avant de se disperser. _ Claude Miseur Publié le 27 mars 2018 par lievenn Pur Rien Voir l’article originalShare this:FacebookTumblrE-mailTwitterPinterestScoop-it !PocketWordPress:J’aime chargement… Articles similaires Annonces