Service de presse n°49

 

Traversées a reçu :

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Les recueils suivants :

    • L’air et le bond, poèmes

Michel Stavaux

Aux éditions d’Hez, 2013, 162 pa

Eric Chassefière

Encres vives, 2016, 16 pages A4

    • aImer à quatre temps, poèmes

Christophe Schaeffer

Préface de Werner Lambersy

Illustrations de Julie Delarme

Librécrit, Hors Collections, nd, 82 pages

Préfacé par Werner Lambersy et illustré de six oeuvres de Julie Delarme, « aImer à quatre temps » est un monologue poétique dont l’auteur exprime le propos en ces termes:

« Bien que fragmenté, ce texte est un unique poème qui se lie en quatre temps où l’amour se situe dans son rapport avec la perte et le désir, entre privation et possession: on ne désire que ce que l’on ne possède pas, ce dont on est privé.

« Entre l’amer et l’aImer, ce texte se joue d’une lettre autant que de l’être. »

Les oeuvres de Julie Delarme révèlent le mystère de l’autre. Le visage, à la fois proche et insaisissable, sidère par sa présence, s’efface si on cherche à le lisser ou à le définir abstraitement. Face au désir, son interpellation porte un autre regard sur les mots, dans l’ambiguïté du sens qu’ils provoquent, et invite au face-à-face comme une expérience de l’infini.

    • Déjà l’automne chez les peupliers, poèmes

Philippe Conter

phconter@gmail.com

    • En langue d’or, poèmes

Jean-Jacques Manicourt

Chloé des Lys, 2017, np

    • Encore une heure, poèmes

Jeanne Champel Grenier

France Libris, 2017, np

    • Fugitive, poèmes

Cathy Garcia

Cardère, 2014, 53 pages

 

  • Je t’sms, poèmes

 

Francine Hesbois

L’Harmattan, 2017, 90 pages

Sous la peau mince des textes de Francine Hesbois, l’on sent battre un coeur de femme sincère, entière, ambitieuse. Etourdie du frémissement de l’aubépine, à la recherche d’harmonies vitales, de conjugaisons heureuses entre les arbres écorchés et nus, les aurores lentes, le vent, la lune, le souffle du monde… l’auteure nous convoque à quelques rendezv-ous estimables: celui de l’amant espéré, désiré, au coeur à double battant et celui d’une existence toute en couleurs sucres d’ocre, tissée de sentiers à siroter…

Contre la fureur des hommes, la sécurité d’un qhotidien trop tiède, les évocations de Francine Hesbois sont autant de cris, de mises en garde lancés au lecteur. Pour qui les entaend, il ne sera plus temps de faire l’autiste, d’esquisser un repli nostalgique.

Sur les pages métisses de ce délicat recueil, la poétesse réussit à faire lever coquelicots et lucioles comme autant de calicots d’une révolte à venir, amoureuse, frénétique, à porter au chevet des étoiles, ici – le temps d’une lecture – devenues complices.

Marc Piret

 

  • Marcher dans la rivière suivi de Les pronoms personnels

 

Léon Laffut

Félix Biwer, nd, 227 pages

 

  • Les mythes de la mémoire

 

Louis Savary

Les presses littéraires, 2017, 100 pages

 

  • Ouvrez le gaz 30 minutes avant de craquer l’allumette, poèmes illustrés

 

Eric Dejaeger

Aimables considérations générales de Jean L’Anselme

Illustrations originales de Pierre Solette

Gros textes, collection « réserves de printemps », 2014, np

    • Petite peinture de nuit – Suite en ciel majeur, poèmes

Jeanne Champel-Grenier

France Libris, 2017, np

    • Les perce-neiges font du yoga, poèmes

Philippe Conter

 

  • Petites gouttes de poésie avec quelques poèmes sans gouttes

 

Pierre Albert-Birot

Motus, 2017, 72 pages

 

  • Petits poèmes diversement appréciables mais néanmoins écrits avec grande attention…

 

Olivier Bastide

Cardère, 2014, 54 pages

L’originalité de cet ouvrage tient à deux aspects liés:

Les 40 petits textes qui le composent ont été écrits chacun en correspondance étroite avec 40 pièces d’Erik Satie;

Il nous est ainsi apparu incontournable d’adjoindre à l’ouvrage un CD de musique…

    • La présence simple des chose, poèmes

Eric Chassefière

L’Harmattan, 2017, 142 pages

« Que le petit jardin

dans sa cage de murs

à l’instant où vient la nuit

s’embroussaille de vent

que remuent les tiges douces

aux paupières de fleurs

qu’aucun autre aux fenêtres

ne soit là pour témoigner

qu’on soit seul

avec la vérité de son rêve

aussitôt la fenêtre s’ouvre »

Eric Chassefière vit à Paris. Directeur de recherche en physique au CNRS, il étudie l’évolution du système solaire et des planètes. Il est également poète, auteur d’une trentaine de recueils parus chez plusieurs éditeurs. Il a obtenu en 2015 le prix Giorgios Sarantaris et a créé avec Jacques Fournier l’action Poeziences de la Diagonale Paris-Saclay destinée à faire se rencontrer scientifiques et poètes.

    • Quand la vieille voisine regarde méchamment le gosse dans la cour, récit

Serge Bec

Cardère, 2013, 43 pages

Notre ami Serge Bec, aujourd’hui rattrapé par le « mal de mémoire », nous a proposé ce court texte, que nous rendons biens volontiers public aujourd’hui, comme un clin d’oeil que le poète adresse à la vie, un pied de nez à toutes les misères du destin.

La vieille voisine regarde le gosse dans la cour, en bas. Elle ne regarde jamais le ciel. Toujours ce gosse qui joue, qui prend le plaisir de la vie, qui rêve et voyage. La vieille voisine est méchante, enfermée dans sa carcasse minérale, mais elle rêve aussi, à sa manière, de l’autre côté de la vie; elle aimerait le voir se noyer, ce sale gosse qui prend du plaisir à la vie. Son seul plaisir à la vieille voisine, c’est de rêver des assassinats…

Un huis clos silencieux où le blanc et le noir se rejoignent parfois, sans jamais se mélanger, sans jamais se dire un mot…

 

  • Quotiennes pour lire, poèmes

 

Georges Cathalo

La Porte, 2016

 

  • Refrain, poèmes

 

Bernard Grasset

Jacques André, 2017, 53 pages

Avec Refrain, le voyage en compagnie des peintres et des musiciens se prolonge comme sans fin. Refrain: revenir là où on est allé, creuser ce qui a déjà été contemplé et écouté, explorer, tel un possible, de nouvelles contrées. Retour et commencement.

Dans l’alliance de la poésie avec la peinture et la musique se découvre un chemin de liberté et de lumière. En lisant Refrain le lecteur est invité à voyager, au fil de l’art, à travers les cultures, les siècles qui passent. Voyage, – aventure dans le langage.

Le dialogue des mots avec l’univers pictural et musical cherche ici son unité du côté des pays intérieurs, des secrets de l’homme, de l’accueil de l’insaisissable. Refrain: écouter, sillons d’un autre langage, ce lointain qui murmure le sacre de l’aurore.

 

  • Rilke-poème – Elancé dans l’asphère, études psychanalytiques

 

Luminitza C. Tigirlas

L’Harmattan, 2017, 200 pages

Que pouvons-nous savoir sur l’invisible nommé amour? Effleurer son ange et sa chute. L’insuffler et le vouer au ratage. Consentir à l’espace intérieur au monde à travers son corps, secousse et faille ouverte de cet amour, dont on est le poème. N’est-ce pas un délice sacrilège? Comment échapper au mur visible de l’Eros? Sacrifier à l’écriture. Elle donne au poète « infiniment plus d’amour que l’individu n’en peut sucriter en autrui ». La poésie et la correspondance, voici « l’étreinte » de la création et le droit « de mourir en elle » arraché par l’écrivain Rainer Maria Rilke. Le sujet créateur est radicalement seul. Dans le fantasmé rilkéen, par un retour sur soi, l’amant parfait mute en héros afin de saisir l’absolu de l’acte créateur…

 

  • Si brève l’éclaircie, poèmes

 

Ghislaine Lejard

Editions Henry, 2015

 

  • Si tu coris que c’est facile de voler les ailes couvertes de neige, poèmes

 

Philippe Conter

Edilivre, 2017, 50 pages

La poésie est UNE et MULTIPLE.

UNE, parce qu’elle part toujours du coeur.

MULTIPLE parce qu’elle touche chacune, étincelle par étincelle, instant par instant.

Philippe Conter n’est ni Rimbaud ni Mallarmé ni Guillevic; jsute un homme qui écrit simplement et qui nous émeut tout en douceur: sans nous brusquer.

Une respiration qui fait du bien. A découvrir sans lanterner davantage…

Viviane Weins

 

  • Table simple, poèmes

 

Marc Dugardin

Rougerie, 2015, 76 pages

 

  • Traverses, carnets

 

Jean-Claude Pirotte

Cherche Midi, 2017, 88 pages

La maison de douane désaffectée, où séjourne Jean-Claude Pirotte, est un lieu enchanté. En contrepoint de la magie du paysage, un désespoir s’insinue peu à peu dans les pages de ces Carnets tenus de juin 2010 à juin 2011. l’observation d’un pays aimé – la France -, avili par un certain Nicolas Sarkozy, mine l’écrivain. Alors que pour beaucop le sarkozysme n’est qu’un épisode social et politique parmi tant d’autres, Jean-Claude Pirotte, jour après jour, l’associe à une perte irréversible de la difnité, qui prépare le terrain aux pires lendemains. La lecture de Déposition, journal écrit par Léon Werth entre 1940 et 1944, lui inspire de troublants parallèles.

Visions graves ou notes plus légères, Traverses est un diamant noir, étincelant au traves des fêlures d’un monde de moins en moins respirable.

Jean-Claude Pirotte (1939-2014), peintre et écrvain, a reçu le prix Goncourt de la poésie le Grand Prix de poésie de l’Académie française.

 

  • Un écrivain hors commerce

 

Pierre Hamel

Yvelineédition, Le Dormeur du Val, 2012, 332 pages

Les revues suivantes :

    • Art et poésie de Touraine n°230, automne 2017

Nicole Lartigue, 10, rue du Clos Prenier à F-37540 Saint-Cyr-sur-Loire (France)

nicole.lartigue@bbox.fr

www.artetpoesiedetouraine.com

    • Le bibliothécaire n°3/2017, juillet à septembre 2017

Michel Dagneau, rue de Bruxelles, 87 à 1470 Genappe (Belgique)

dagneau.michel@live.be

    • Cabaret n°21, printemps, 22, été, 23, automne 2017

31, rue Lamartine à 71800 La Clayette (France)

    • Les Cahiers de la rue Ventura n°37, 3ème trimestre 2017

Dossier : Le Nouveau Roman …

    • Les Cahiers de la rue Ventura n°38, 4ème trimestre 2017

Claude Cailleau, 9, rue Lino Ventura à 72300 Sablé-sur-Sarthe

amis.rueventura@hotmail.com

L’invité de l’automne : Pierre Perrin

« Segalen en chinois », par Mireille Privat : étude accompagnée de fragments de Stèles

Vers et proses…

Pages d’enfance de Gérarl Glameau et Pierre Borghero

Des jours entre les mots, par Michel Passelergue…

    • Chiendents n°98, janvier 2016 ; 117, janvier 2017

Editions du Petit Véhicule, Luc Vidal, 20, rue du Coudray à 44000 Nantes (France)

    • L’écritoire de Clairefontaine n°1, mars-avril 2017

Michel Bailleux, rue du Cloître 26 à 6700 Arlon (Belgique)

 

  • Festival permanent des mots – FPM

 

Poésie – Nouvelles – Récits

Jean-Claude Goiri, 18, rue Edmond About à 54000 Nancy (France)

    • Florilège n°168, septembre 2017

Stephen Blanchard, 19, allée du Maconnais à 21000 Dijon (France)

aeropageblanchard@gmail.com

http://poetesdelamitie.blog4ever.com

    • Le Gletton n°498, septembre 2017

Michel Demoulin, 28, rue Saint-Martin à 6740 Villers-sur-semois (Belgique)

secretariat.gletton@gmail.com

www.legletton.be

    • Handshake n°92

John F.Haines, 5 Cross Farm, Station Road North Fearnhead, Warrington, Cheshire, WA2 0QG, United Kingdom

    • Interventions à Haute Voix Hors série n°3

Il y a quarante ans déjà ! Anthologie anniversaire, 2017

Gérard Faucheux, 5, rue de Jouy à 92370 Chaville (France)

direction@mjcdelavallee.fr

http://www.mjcdelavallee.fr

    • Jdmp – Journal de mes paysages n°4, novembre 2016

journaldemespaysages@gmail.com

Journal de mes Paysages est une revue d’inspiration réaliste, qui explore les environnements intimes de ses auteurs en les invitant à développer un vécu réel à l’état brut, se rapprochant ainsi du reportage…

Ent’revues

    • La lettre de Maredsous n°2, août 2017

Luc Moës, Abbaye de Maredsous à 5537 Denée (Belgique)

 

  • Libelle n°292 et 293, septembre et octobre 2017

 

Michel Prades, 14, rue du Retrait à 75020 Paris (France)

pradesmi@wandoo.fr

www.libelle-mp.fr

 

  • Nos lettres n°23, octobre 2017

 

Anne-Michèle Hamesse, Association des écrivains belges de langue française asbl, Chaussée de Wavre, 150 à B-1050 Bruxelles.

a.e.b@skynet.be

www.ecrivainsbelges.be

 

  • Poésie sur Seine n°95, septembre 2017

 

Pascal Dupuy, 13, place Charles de Gaulle à 92210 Saint-Cloud (France)

poesiesurseine@gmail.com

www.poesie-sur-seine.com

 

  • Portique n°108, octobre à décembre 2017

 

Chris Bernard, Mairie, 8 place de la mairie à 84110 Puyméras (France)

 

  • Reflets Wallonie-Bruxelles n°53, juillet à septembre 2017

 

Joseph Bodson, 109, rue de la Mutualité à 1180 Bruxelles (Belgique)

joseph.bodson@skynet.be

site : areaw.org

 

  • Septentrion n°2/2017, 2ème trimestre 2017
  • Septentrion n°3/2017, 3ème trimestre 2017

 

Arts, lettres et culture de Flandre et des Pays-Bas

Luc Devoldere, Murissonstraat, 260 à 8930 Rekkem (Belgique)

septentrionblog.onserfdeel.be

www.onserfdeel.be

Au sommaire :

  • Comment se fait-il qu’ayant grandi dans la région de Liège et étant intéressé par tout ce qui a trait à la littérature, on soit durant des décennies à peine entré en contact avec la littérature de Flandre et des Pays-Bas ? Pourtant Adrienne Nizet, directeur-adjoint de Passa Porta (Maison internationale des littératures à Bruxelles) apprécie aujourd’hui pleinement la littérature néerlandophone.
  • Depuis toujours le photographe flamand Michiel Hendruckx est amoureux de la France…
  • Selon Andrea Blühm, directeur du Groninger Museum, un bon artiste doit être à même de modifier foncièrement la perception de l’environnement quotidien…
  • Karin Wolfs en est convaincue, le cinéma néerlandais traverse une période difficile…

 

  • Soleils & cendre n°122

 

Henry Tramoy, 99, Bd des Mians à 84260 Sarrians (France)

Isabelle Ducastaing, 1bis, imp. Anatole France à 84500 Bollène (France)

solicend@orange.fr

http://www.soleils-et-cendre.org

Où rôde l’ode … tous, détours et repos à l’entour

Chez les Grecs, l’Ode, chantée, est construite à partir de formes, ce qui nous intéresse au premier chef et fait sens dans notre projet de numéros consacrés à une forme. L’ode grecque antique se compose de strophes, antistrophes et épodes. Les strophes symétrisent avec les antistrophes et les épodes entre elles.

Par ailleurs, nous ouvrons le champ à l’Ode moderne, telle que pratiquée, de Ronsard à Hugo, dans l’exaltation des sentiments et l’embrasement de l’imaginaire.

Tout cela sans perdre de vue une approche générale résolument contemporaine. Avec, subrepticement, à propos d’antistrophe et dans le grand écart, un clin d’oeil à Rabelais.