8 septembre 2012 / lievenn Serge Maisonnier assis devant la fenêtre à la crémone nos épaules lourdes de nuages nous regardons passer nos rêves morts imbibés de visages absents Voir l’article originalPartager :Partager sur Tumblr Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail TweetJ’aime chargement… Similaire