Service de presse n°34

 

Traversées a reçu :

Les recueils suivants :

  • À tous les contrariés, Salvatore Sanfilippo, poèmes, illustrations de Marie-Christine Frappa, np, 2012.

  • Ainsi futiles, Daniel Birnbaum, éditions Clapas, collection Franche Lippée, 2013, 8 pages.

  • Alphabet, André Hufty, essai, éditions Persée, 2014 ; 58 pages.

    • Le mot de l’éditeur :

Alphabet est un ouvrage qui sort des sentiers battus. L’auteur illustre ses réflexions sur la société de mystérieuses estampes en noir et blanc.

Ces 26 textes, ces « contes », organisés en abécédaire, interrogent le monde, l’écologie, le féminisme ou la religion. Comme de petites histoires qui laissent l’esprit vagabonder entre les mots et les images.

Il émane de ce livre un mystère et une profondeur qui ne peuvent laisser le lecteur indifférent. Lui offrant la liberté de s’y perdre et d’inventer sa propre vision du monde.

L’auteur s’est décidé à enrichir son ouvrage d’estampes qu’il grave lui-même depuis une quarantaine d’années. Des linogravures qui rappellent la poésie et l’ironie des travaux de Masereel et de Vallotton.

  • L’auteur :

André Hufty est né en 1935. Installé au Québec, il a exercé le métier de professeur en climatologie à l’Université Laval. A la retraite depuis 2002, l’auteur écrit, outre des textes scientifiques, des articles sur l’art. Il pratique également le dessin, l’aquarelle et les gravures depuis quarante ans.

  • Amina G., La voie de Mahomet, Eddy Piron, roman, éditions du Basson, rue du Basson, 81 à B-6001 Marcinelle ; 2013 ; 115 pages ;

www.editionsdubasson.com; editionsdubasson@scarlet.be

  • L’auteur :

Eddy Piron, auteur carolo de plusieurs romans à cadre historique, dont La fille de Marie Stuart et Cornélius Crassius, agent de Jésus-Christ, est également dramaturge et journaliste.

  • Le mot de l’éditeur :

Au crépuscule de sa vie, Mahomet décide de retranscrire le message d’Allah. Pour cela, il fait appel à une de ses anciennes maîtresses, Amina G., sorte de working girl farouche, rebelle, féministe et, on l’ignore, à l’origine du phénomène « Mahomet ». Elle accepte de collaborer mais réalise vite que son « ex », prophète autoproclamé, pète réellement un câble. Que faire pour éviter le pire ? Fuir ? Poursuivre sa tâche et tenter de l’influencer ? Dans un récit palpitant, Eddy Piron nous fait voyager entre Mekka et Rome dans un style ciselé, bref, dynamique.

Partant de là, Eddy Piron nous propose une vision décalée de la naissance de l’Islam. On découvre une interprétation drôle et étonnante des fondements de cette religion. Pamphlet, peut-être, ce livre a finalement pour but, par le prisme de l’humour, de montrer qu’Amina G. a raison de dire que « La religion est une chose bien trop légère que pour être confiée à des religieux ». Et dans un monde où la lourdeur des uns affronte le sérieux des autres, un peu de légèreté, ça fait du bien.

  • Androgyne, Rome Deguergue & Michel Bénard, éditions les Poètes français, 2013, 65 pages.

    • Extrait de la préface de Jacques Viesviel :

« Il est elle.

Elle est lui.

L’un et l’autre dans leur altérité.

Deux a n’en plus faire qu’un

pour couronner le sacrifice

de l’unité retrouvée.

Deux dans le même profil de l’œuvre

le même battement de cœur inorganique

le même spasme d’en haut.

Le ciel tout porche

sous l’écorce.

  • Baudelaire entre Aube et Crépuscule, Alice Machado, éditions Lanore, François-Xavier Sorlot, 6 rue de Vaugirard à F-75006 Paris ; 2009 ; 222 pages.

    • www.fernand-lanore.com ; contact@editionslanore.com ; www.alicemachado.com
    • Le mot de l’éditeur :

    • Par son œuvre novatrice et provocante, voulant transcender le mal, Charles Baudelaire semble incarner à lui seul la modernité littéraire, dans le constant désir d’ouvrir des voies nouvelles. Sa vie tumultueuse pourrait nous inspirer le thème du poète maudit et sa volonté tend à converger vers un axe essentiel : dire l’Homme dans l’infinitude de son être, avec ses contradictions, laissant une grande place à l’imagination créatrice, qui elle seule serait capable de déchiffrer le secret de l’Univers, le spleen et l’ivresse du retour à l’état paradisiaque originel.

Baudelaire porte en lui l’horreur de la vie et l’extase de la vie, son destin pourrait se jouer ainsi entre Aube et Crépuscule, ange ou démon, paradis ou enfer. C’est l’étendue de son œuvre, diversifiée, ses affinités spirituelles, que cette étude s’attache à parcourir, à décrypter. Laissons-nous porter par cette poésie des lieux hauts les parfums, les couleurs et les sons se répondent.

  • L’auteur :

  • Alice Machado a fait ses études littéraires et philosophiques à l’Université de Paris VIII. Son dernier ouvrage est un essai sur les Figures féminines dans l’œuvre de Gérard de Nerval. Elle a publié des romans et des recueils de poésie, qui ont été traduits dans plusieurs langues. Ses activité l’amènent à participer à des colloques, rencontres et lectures littéraires, salons du livre, tant en France qu’à l’étranger.

  • Chemins de doute, Francis Chenot, poèmes, éditions de l’Atlantique, collection Phoibos, 2011 ; 56 pages.

  • bowenchina12@yahoo.fr

    • L’auteur :

    Francis Chenot est né en 1942 dans ces Ardennes belges dont, dit-il lui-même, il a « gardé les silences têtus et l’économie de mots qui caractérisent mon écriture ». Fondateur, avec Francis Tessa, de la Maison de poésie d’Amay et des éditions de l’Arbre à paroles, il a publié, en 45 ans, une vingtaine de recueils et plaquettes. Il est aussi traducteur d’espagnol, de portugais et adaptateur en français de poètes albanophones traduits par Vasil Çapeqi.

    • Le livre :

    Chemins de doute porte bien son nom car s’il est trois mots-clés dont les récurrences sont multiples dans ce recueil c’est bien « interrogation », « renoncement » et, précisément, « doute » qui, pour Francis Chenot, est associé à « humilité » et représente comme une sorte de droit fil de la sagesse. L’écriture poétique présente un processus de recommencement (le poète est alors une sorte de Sisyphe) qui chaque fois interroge les mots et se laisse interroger par eux, à l’infini, en vain peut-être, mais qu’importe ? seule compte cette interrogation. Poésie du silence, de la méditation, ce recueil nous donne à lire des textes courts, bien ciselés, qui posent les vraies questions et dans lesquels, en effet, on retrouve cette économie d’écriture à laquelle le poète fais souvent référence.

    • L’extrait :

    « Dans leur fragilité

    les mots du poème

    sont pareils à ces traces

    cunéiformes

    que laisse le goéland

    lorsqu’il se pose sur la place

    Une prochaine marée

    les effacera

    d’une vague indifférente »

    • Dieu m’étonnera toujours, Suites pour le temps qui passe, Claire Fourier, récit, éditions Dialogues, 38, reu Voltaire à F-29000 Brest, collection Littératures, 188 pages ; 2013.

      • Le mot de l’éditeur :

    Une femme se retire (pourquoi ?) dix jours en août dans un monastère de la Chartreuse abandonné par les moines et qui accueille des laïcs. Dans la chaleur de l’été, quasi nue et chaussée des grandes bottes de jardinage masculines dénichées dans l’atelier, elle met ses pas dans les pas du Chartreux, entreprend de nettoyer son jardin en friche, évolue comme chez elle dans la maison de l’ermite absent dont, épousant la manière de vivre, elle s’éprend peu à peu. Tout regard et tout ouïe, elle médite, plus qu’elle ne se perd en oraisons, et note, ivre de splendeur inattendue, ce qui lui passe par la tête. Ahurissement, vénération, sentiment aigu de la nature, de l’amour, du temps, de Dieu. Elle écrit l’incorrigible balancement de ses impressions, les pensées contradictoires, les idées folles qui l’assaillent dans un lieu strictement soumis à la règle monastique.

    Un an plus tard, reprenant ces « suites pour le temps qui passe », la femme celte et panthéiste retrace avec autant de fantaisie que de rigueur, au fil d’une prose entrecoupée de poèmes brefs dans l’esprit du haïku, un séjour intemporel et divinement païen à la Chartreuse.

    • L’auteure :

    Révélée avec Métro Ciel, récit érotique et lumineux d’une rencontre souterraine, Claire Fourier a écrit une vingtaine de livres qui nouent et dépassent tous les genres, et à propos desquels Bernard Noël a justement pu dire qu’elle avait inventé un nouveau genre : la « sensualité verbale », tandis que Pierre Sipriot a évoqué le « cogito de la sensibilité ». dieu m’étonnera toujours est pareillement marqué au coin d’un érotisme délicat.

    Claire Fourier a publié notamment Les silences de la guerre ; Je vais tuer mon mari et Route coloniale 4 en Indochine.

    • Ecrire comme on part, Béatrice Libert, poèmes, éditions Le bruit des autres, 2013 ; 114 pages.

    www.lebruitdesautres.com

    • L’auteure :

    Écrivaine et comédienne, Béatrice Libert vit à Liège en Wallonie. Elle a publié des poèmes (traduits en plusieurs langues), des essais, récits, nouvelles, un roman et des livres pour la jeunesse. Elle signe aussi des collaborations avec des artistes musiciens, peintres, graveurs, chorégraphes et photographes.

    • Extrait de la préface :

    À mes yeux, jamais Béatrice Libert n’avait étreint la terre de cette façon-là, et jamais ses mains jardinières n’avaient pétri, comme ici, le corps du poème comme le corps de la mort. Pétri et caressé car la langue est légère et si sensuelle quand l’auteure réveille les mots qui dormaient dans la moelle de nos os. Et du coup, elle nous encourage à rejoindre notre propre jardin. Ou notre cimetière ? Mais n’est-ce pas très proche ? Ce jardin-cimetière que nous portons en nous, au point que…

    « Tu ne sais jamais

    Si c’est toi qui le traverses

    Ou si c’est lui qui marche en toi. »

    Une chose est sûre en tout cas, il faut y entrer dans ce jardin-poème, si fragile et si fraternel, s’y promener, peut-être s’y perdre, mais avec la certitude « que demain est tiède déjà d’être aimé ».

    Gabriel Ringlet

    • Êtres épris…, Hafsa Saifi, éditions Clapas, collection Franche Lippée, 2013, 8 pages.

    • Les fleurs de la poésie de Gouvy à l’Océanie, André Pecquet, éditions Persée, rue de Bassano à F-75008 Paris, 2014, 137 pages.

    www.editions-persee.fr; communication@editions.persee.fr

    • Le mot de l’éditeur :

    Paru récemment, ce petit livre rassemble plus d’une centaine de poésies inspirées à l’auteur belge lors de ses nuits et de ses rêves.

    « Nadrin, maison natale de l’auteur

    C’est l’âme d’un déçu par la vie et ses infamies

    Qui aujourd’hui enfin guéri

    C’est en auteur convaincu, que j’ai enfin vécu toutes ces insomnies

    Et c’est par la poésie qu’on embellit la vie »

    Ainsi commence le recueil de poésies d’André Pecquet, un recueil de textes remplis de rêveries et de mélancolie, qui nous font voyager de Belgique jusqu’en Océanie.

    Entre ombre et lumière, ses textes parlent d’amour, de pain et de voyage. Le poète rend hommage à son village natal, à Jean Ferrat et Jacques Brel, mais aussi aux gitans, synonymes pour lui de liberté.

    • L’auteur :

    André Pecquet est né à Nadrin, commune de Houffalize en Belgique. C’est en se retrouvant au chômage forcé, après vingt-trois ans comme ouvrier polyvalent et deux années de conciergerie dans un centre de vacances qu’il s’est remis à ses anciens loisirs, c’est-à-dire la poésie.

    • Hiatus rationnalise, Lionel Blettery, éditions Clapas, collection Franche Lippée, 2013, 8 pages.

    • Hommes et chiens confondus, Rose Eliceiry, poèmes, éditions de l’Ecrou, 2011, 73 pages.

      • L’auteure :

    Née en 1985, à Québec, Rose Eliceiry habite présentement Montréal où, depuis 6 ans, elle a offert plusieurs prestations poétiques. On a notamment pu la voir et l’entendre lors du festival Voix d’Amériques, du Festival International de Jazz de Montréal et de la nuit de la poésie 2010. Elle tente toujours de partager sa vie entre la métropole, Saint-Agathe-des-Monts et le sud de la France. Parallèlement à sa pratique d’écriture, elle a complété un baccalauréat en études littéraires à l’UQAM.

    • Le mot de l’éditeur :

    A vif, fébrile et bouillonnante, la poésie de Rose Eliceiry pointe du doigt les failles du ciel, prend la parole dans le silence, s’efforce de vaincre la nuit, l’angoisse et l’adversité ; empreinte d’une envie de lutter contre les désastres et les désolations, elle cherche à tout donner, tout prendre, pour découvrir un présent habitable où se lover.

    Hommes et chiens confondus c’est l’aveu du manque, du vide et de l’absence, c’est aussi le récit d’une errance, une longue promenade en quête d’émerveillements, entre les routes de terre du Nord et les ruelles de Montréal, où la douleur et le désir s’amalgament pour réunir les bêtes nocturnes.

    • L’extrait :

    «  combien de familles

    tombent

    et tout le ciel avec

    combien de murs

    à en échapper les plafonds

    combien de fois

    Hiroshima sans l’amour »

    www.lecrou.com; info@lecrou.com

    • André du Bouchet, Poésie, langue, événement, Victor Martinez, éditions Rodopi, Tijnmuiden, 7 à 1046 AK Amsterdam, The Netherlands, collection Chiasma, 187 pages.

      • Le mot de l’éditeur :

    L’œuvre du poète français André du Bouchet (Paris, 1924 – Truinas, 2001) constitue un apport inédit pour les recherches en linguistique et poétique contemporaine. L’attention au « dehors » qui caractérise une telle poésie ne débouche pas sur une poésie descriptive, objective ou référentielle, mais sur l’idée que le rapport à la réalité est invisible et global. Les herméneutiques phénoménologiques, rationnelles ou critiques (de Ricoeur à Meschonnic ou Bollack) ne sont pas parvenues à décrire une œuvre qui placerait le sens non dans la langue, mais à côté d’elle. L’œuvre d’André du Bouchet, fondée non sur une poétique de la présence, mais de sa rupture, non sur une poétique du lieu, mais de son emportement, non sur une poétique du sens, mais de sa dissolution, parviendrait au résultat paradoxal de replacer la réalité au cœur du langage, y compris dans ses manifestations les plus violentes. Eminemment historique, cette poésie fonderait le langage comme événement, mais cet événement ne serait pas assignable en tant que fait positif : il serait un phénomène global à la fois sans signe, paradoxalement observable et ouvertement efficient.

    L’œuvre d’André du Bouchet resitue des questions initialement poétiques au centre de ce qui constitue le projet global des sciences humaines : décrire, fonder, interpréter.

    • L’auteur :

    Victor Marinez est docteur en langue, littérature et civilisation françaises de l’université de la Sorbonne nouvelle Paris 3. Il travaille actuellement comme membre associé au laboratoire de recherches Alithila de l’université Charles de Gaulle Lille 3. Ses recherches portent sur les poésies et les poétiques contemporaines.

    • Pour que ne cesse pas la soif, Michel Gabet, éditions Clapas, collection Franche Lippée, 2013, 8 pages.

    • Séjours, là, Jean-Louis Massot, suivi de D’autres vies, poèmes, dessins de Gérard Sendrey, préface de Daniel Simon ; éditions M.E.O., 2013, 106 pages.

    www.meo-edition.eu; contact@meo-edition.eu

    • Les silencieux manèges (extraits), Mylène Catel, éditions Clapas, collection Franche Lippée, 2013, 8 pages.

    • Sirènes, Karim Cornali, éditions Clàpas, collection Franche Lippée, septembre 2014, 8 pages.

    • Six sonnets imparfaits, Renaud Lejeune, éditions Clapas, collection Franche Lippée, 2013, 8 pages.

    • Le temps désormais compté, Franco Marcoaldi, poèmes, traduits de l’italien par Roland Ladrière, éditions de Corlevour, 2013, 93 pages ; 1ère édition : Il tempo ormai breve, Torino, Einaudi, 2008, Prix international LericiPea, 2008.

      • L’extrait :

    « Que dis-tu ? Que je t’embrasse fort

    fort, j’ai quelque chance de plus

    d’échapper à la mort ?

    • Le vol du papillon, Itinéraire onirique, Catherine Bruneau et Eric Chassefière, éditions Rafael De Surtis, 7, rue Saint Michel à F-81170 Cordes/Ciel, collection Pour une fontaine de feu, 2013, 94 pages.

    • Voyages encrés, suivi de Les chemins contrariés, Patrick Navaï, poésies et encres, Carnets-Livres, 2011.

    http://carnets-livres.over-blog.net ; carnetslivres@gmail.com

    • Le mot de l’auteur :

    Dans Les chemins contrariés, j’ai fait appel à l’acrylique ainsi qu’à quelques gouttes d’huile. J’ai pu ainsi faire surgir les formes du désarroi, désarroi qui a porté une ombre à ma vie de migrant.

    Dans Voyages encrés, c’est l’encre qui coule, ou plutôt les encres. Le fond est à base d’aquarelle ou de gouache. Muni d’un petit gris, j’ai fixé de nombreux navires.

    Les revues suivantes :

    • Les Amis de l’Ardenne, n°44, juin 2014 (Les 70 ans du Rimbaldien). 10, rue André Dhôtel à F-08130 Saint-Lambert-et-Mont-de-Jeux. mondejeux@gmail.com

    • Arpo, n°79, automne 2014, bulletin de liaison de l’association. Centre culturel JB Calvignac, 24, avenue Bouloc Torcatis à F-81400 Carmaux. www.arpo-poesie.org ; contact@arpo-poesie.org

    • Bleu d’Encre, n°30, hiver 2013. Claude Donnay, rue d’Anseremme, 43 à B-5500 Dinant.

    • La Braise et l’Etincelle, n°114, 15 novembre 2014. Annie et Yves-Fred Boisset, 7/2 résidence Marceau-Normandie, 43, avenue Marceau à F-92400 Courbevoie. yvesfred.boisset@papus.info; http://yves-fred.over-blog.com

    • Cabaret, n°11, automne 2014. Alain Crozier, 31, rue Lamartine à F-71800 La Clayette. (A l’Est du nouveau : Estelle Cantala, Muriel Carruppt, Olga Sokolow, Szilvia Deak, Simona-Grazia Dima, Stella Vinitchi Radulescu, Alexandra Bouge, Anne-Lise Blanchard).

    • Le carnet et les instants, n°184, du 1er décembre 2014 au 31 janvier 2015, Lettres belges de langue française. Martine Garsou, 44, Boulevard Léopold II à B-1080 Bruxelles. (Editorial : Création et marché du livre, Joseph Duhamel ; Les figures de l’éditeur : l’édition en Belgique francophone d’hier à aujourd’hui, Primaëlle Vertenoeil ; Christian Hubin ou le poème accélérateur de particules, Eric Brogniet ; Mélanie Rutten ou la force tranquille de ces livres qui nous construisent, Natacha Wallez ; Avec jean Ray, on ne sait jamais…, Joseph Duhamel ; Publications nouvelles et rééditions ; Critiques diverses…).

    • Chromatique, n°14, 2014.

    www.legroupechromatique.tumblr.com ;

    legroupechromatique@gmail.com

    • Le Gletton, n°464, novembre 2014, mensuel de la Gaume et d’autres collines. 28, rue Saint-Martin à B-6740 Villers-sur-Semois. secretariat.gletton@gmail.com

    • Expressions Les Adex, novembre 2014. 30, rue René Delorme à F-60800 Rouville. info@lesadex.com ; www.lesadex.com

    • Inédit nouveau, n°270, septembre-octobre 2014. Paul Van Melle, avenue du Chant d’Oiseaux, 11 à B-1310 La Hulpe. 0032 2 652 11 90, 32 pages A4. (Contributions de Paul Van Melle : Hommage à Jean-Claude Pirotte ; Pour continuer à vivre avec notre âge dans le monde virtuel ; Il était sentimental, Jean Dumortier ; A tous mes échos ; Avis de tempête ; Textes en prose et en vers…).

    • Inédit nouveau n°271, novembre-décembre 2014. (La poésie a gagné).

    • Lélixire #9, automne 2014. Editions Robin, F-79000 Niort.

    contact@editionsrobin.com

    • Microbe, n°83, la revue qui s’amuse à passer par le chas d’une aiguille, mai-juin 2014, accompagné de Grovisse de forme, André Stas & Eric Dejaeger. Eric Dejaeger, Launoye 4 à B-6230 Pont-à-Celles. ericdejaeger@yahoo.fr

    • Portulan bleu, n°14, avril 2013. Éditions Voix Tissées, 105, avenue Aristide Briand à F-92120 Montrouge. (Voix du poème). portulan@orange.fr

    • Septentrion, 43ème année, n°1/2014, 1er trimestre 2014. Ons Erfdeel vzw, Murissonstraat 260 à F-8930 Rekkem.(Nous nous souvenons. La grande guerre 1914-2014, Luc Devoldere ; L’exil des Belges en France durant la première guerre mondiale, Michaël Amara ; L’heure de l’ultimatum, Stefan Brijs ; On part à l’attaque la cigarette aux lèvres, Blaise Cendrars ; Il faut être deux pour danser le tango : la politique culturelle néerlandaise en France, Bram Buyze ; Tout commence chez soi… mais où ? La poésie de Miriam Van Hee, Bart Stouten ; « Les bonnes idées viennent à vélo » : l’œuvre de Dick Bruna, Céline Rutten ; Des moutons et des plantes : l’œuvre de Claudy Jongstra, David Stroband ; L’écrivain se réinvente tous les jours : l’œuvre de Oek de Jong, Jeroen Vullings ; Frissonnant dans une robe d’été et autres nouvelles, Oek de Jong ; Des poèmes choisis par Jozef Deleu…).

    www.onserfdeel.be; www.onserfdeel.nl; http://septentrionblog.onserfdeel.be

    • Septentrion , 43ème année, n°2/2014, 2ème trimestre 2014. (Le Roi Albert et la Reine Elisabeth aux commandes de la Belgique durant la Grande Guerre, Luc Vandeweyer ; Les miroirs de l’âme, Charlotte Mutsaers ; Bellewaerde, Xavier Hanotte ; La théâtralité du pouvoir : l’art vidéo de Koen Theys, Paul Depondt ; L’enfant rebelle gagne du terrain : l’œuvre et l’univers d’Alex Van Warmerdam, Karin Wolfs ; « Je suis un poisson, mais je veux devenir l’eau » : l’œuvre d’Esther Gerritsen, Dorian Cumps ; Une mise en plis, Esther Gerritsen ; Enseigner le Néerlandais dans les universités françaises à l’horizon 2020, Philippe Noble ; « Strident et juste » : la poésie d’Anne Vegter, Erik Lindner ; Poèmes, Anne Vegter ; Un hiver en été, Christophe Van Gerrewey…).

    Traversées a reçu

    10/09/2013

    Traversées a reçu :

    Les recueils suivants :

    ◊ Baudelaire entre Aube et Crépuscule,  Alice Machado,

    Lanore (François-Xavier Sorlot, éditeur, 6, rue de Vaugirard

    à F-75006 Paris), collection Littératures, 222 pages ; 15€ ;

    2009; contact@editionslanore.com;

    http://www.fernand-lanore.com.

    oPar son œuvre novatrice et provocante, voulant

    transcender le mal, Charles Baudelaire semble incarner

    à lui seul la modernité littéraire, dans le constant désir

    d’ouvrir des voies nouvelles.

    ◊ Le blason de l’éditeur,  Paul Serval, Azimuts asbl, Cité

    Nicolas Dprez, 61 à B-4040 Herstal ; 120 pages ; 11€ ;

    2013.

    o André Gide a donné pour sous-titre à son roman « Les

    caves du Vatican » : sotie de la vie moderne.

    Au Moyen  Âge, la sotie était une farce. Le présent

    ouvrage est une sotie de la vie littéraire et médiatique.

    L’auteur a le brillant et le pointu d’un couteau. Il fait

    mal au bon endroit. On n’ose dire qu’on en voudrait

    plus, tant on sent que, chez lui, la qualité de prose va

    avec la rareté.

    Paul Serval est le pseudonyme d’un auteur confirmé,

    membre de l’Association des Ecrivains belges, et fin

    observateur de la comédie humaine

    ◊ Boréale, Valérie Canat de Chizy, poèmes, Encres Vives (2,

    allée des Allobroges à F-31770 Colomiers), collection Encres

    Blanches, 16 pages A4 ; 6,10€ ; 2013.

    ◊ L’éveilleur de mots, Stephen Blanchard, poèmes, France

    libris, 48 pages.

    oStephen Blanchard est né à Thiès (Sénégal) le 2

    décembre 1952. il est le président-fondateur depuis

    1974 de l’association « les poètes de l’amitié – poètes

    sans frontières » (marque déposée) qui publie la revue

    de création littéraire et artistique Florilège sous l’égide

    d’un comité de lecture dirigé par Jean-Michel Lévenard.

    Fondateur des Rencontres poétiques de Bourgogne en

    1990, du Prix de l’Edition de la Ville de Dijon en 2001, il

    crée entre autres « l’Union Nationale pour l’Information

    des Auteurs et Concouristes » en 1991, puis en 1994,

    l’association « de la poésie contemporaine française ».

    membre du syndicat des journalistes et écrivains à

    Paris, il collabore en tant que délégué départemental

    de la Côte d’Or à la revue « Indépendante » fondée par

    Georges Sand en 1841…

    ◊ Faibluss, Jeanpyer Poëls, poèmes, La Porte, 2013.

    ◊ La Femme abandonnée,  Honoré de Balzac, nouvelle,

    éditions de l’Herne (22, rue Mazarine à F-75006 Paris ;

    lherne@lherne.comhttp://www.lherne.com; lherne.blogspot.com,

    89 pages, format 13,5 X 21 cm, 7€, 2013.

    o La Femme abandonnée  est une nouvelle d’Honoré de

    Balzac, parue en 1832 dans la Revue de Paris, publiée

    en volume en 1833 dans le tome II des  Scènes de la

    vie de province  des  Etudes de mœurs  aux éditions

    de Madame Béchet. Rééditée en 1842 aux éditions

    Furne avec une dédicace à la duchesse d’Abrantès.

    Elle figure alors dans  Scènes de la vie privée. La

    vicomtesse de Beauséant, abandonnée par le marquis

    d’Ajuda Pinto après une aventure malheureuse, s’est

    réfugiée dans son château en Basse-Normandie. Elle

    y vit en solitaire, recluse. Ce personnage fait partie de

    la  Comédie humaine : Madame de Beauséant y est la

    référence parisienne, tenant un salon très réputé. Elle

    est également parente de Rastignace, qu’elle initie aux

    subtilités de la vie mondaine dans la capitale.

    oMadame la vicomtesse de Beuséant était blonde,

    blanche comme une blonde, et avait les yeux bruns. Elle

    présentait noblement son front, un front d’ange déchu

    qui s’enorgueillit de sa faute et ne veut point de pardon.

    Ses cheveux, abondants et tressés en hauteur audessus de deux bandeaux qui décrivaient sur ce front

    de larges courbes, ajoutaient encore à la majesté de sa

    tête. L’imagination retrouvait, dans les spirales de cette

    chevelure dorée, la couronne ducale de Bourgogne ; et,

    dans les yeux brillants de cette grande dame, tout le

    courage de sa maison ; le courage d’une femme forte

    seulement pour repousser le mépris ou l’audace, mais

    pleine de tendresse pour les sentiments doux.

    o Honoré de Balzac (1977-1850) : a été tour à tour

    dramaturge, journaliste et écrivain. Considéré comme

    l’une des figures majeures du monde des lettres

    françaises, il est le créateur du roman réaliste moderne

    et a conçu dès 1833 le grand cycle de la  Comédie

    humaine. Il laissera à sa mort l’une des plus grandes

    œuvres de la littérature mondiale. « Il entre le même

    jour dans la gloire et dans le tombeau », dira Victor

    Hugo dans l’éloge funèbre qu’il prononça au cimetière

    Père-Lachaise.

    ◊ Lettre à nu,  Sylviane Werner, poèmes, avec 6 encres

    originales de Pierre Midena, Les Solicendristes (www.soleilset-cendre.org),

    ◊ La paix du ménage,  Honoré de Balzac, roman, éditions

    de l’Herne, 80 pages, format 13,5 X 21 cm, 2013, 7€.

    o Le bal est donné chez le comte de Gondreville avec un

    étalage de luxe au milieu duquel une inconnue en robe

    bleue, discrète et timide, tranche avec l’arrogance et

    la frénésie du paraître qui règne dans ce lieu. Intrigués

    par cette jolie personne, le comte de Montcornet et

    le baron de la Roche-Hugon se livrent à un jeu de

    pari : lequel des deux réussira à la séduire, elle qui est

    précisément la femme du comte de Soulanges. Des

    intrigues amoureuses se nouent par ailleurs, se défont

    ici, se renouent là. La paix du ménage est initialement

    paru en 1830 chez Mame et Delaunay-Vallée, dans

    Scènes de la vie privée. Ce roman court, dense, vif et

    incisif, est construit comme une pièce de théâtre sur

    l’unité de temps : une heure, l’unité de lieu : un bal.

    Contrairement à ce que le titre pourrait laisser croire,

    il ne s’agit en rien d’un roman bourgeois, mais d’une

    peinture étincelante de la vie mondaine sous l’Empire.

    o « Montcornet était là comme le roi de la fête, il trouvait

    jeu, la danse, la coquetterie, les intérêts, les malices

    dans ce tableau mouvant une vue complète du monde,

    et il en riait en recueillant les sourires intéressés de cent

    femmes brillantes et parées ; un colonel de la garde

    impériale, poste qui comportait le grade de général

    de brigade, était certes un des plus beaux partis de

    l’armée. Il était minuit environ. Les conversations, le

    et les projets, tout arrivait à ce degré de chaleur qui

    arrache à un jeune homme cette exclamation : le beau

    bal ! »

    ◊ Poussières,  Laurent Bayssière, poèmes, Interventions à

    haute voix, 2013, 51 pages.

    o Ouvrir sa vie au monde.

    Laisser sa chaleur diffuse pénétrer en soi, et aller vers

    elle, démuni, en toute humilité.

    Traversées. Brûlures. Des mots crépitent. Au foyer du

    poème :

    poussières. Éphémères.

    Quelles traces d’humanité aux tables de la bonté ?

    ◊ Quadrille magico-poétique,  Serge Torri, préface et 4

    photographies de Michel Carqué, postface de Paul Sanda,

    éditions Rafael de Surtis, F-81170 Cordes sur ciel, 2013, 102

    pages.

    ◊ Les routes de l’Inde,  Mircea Eliade, roman, traduit du

    roumain par Alain Paruit, éditions de l’Herne, 2013, 208

    pages, 16€.

    o Les routes de l’Inde  est un roman d’aventures au

    quotidien. Les aventures de l’esprit et de la chair

    survenues de 1928 à 1931, à Calcutta, à un jeune

    Roumain venu y étudier le sanskrit et la philosophie

    indienne. S’il ne néglige pas son travail, il ne dédaigne

    pas non plus les plaisirs. Il raconte ses amours et celles

    de ses amis, expose des pensées contradictoires avec

    une sincérité qui exclut la pudeur. Des notes de journal

    telles qu’elles se présentaient alors sous sa plume.

    Fruit d’un contact avec l’Inde (1928-1931) et de ses

    séjours dans les monastères himalayens, Les routes de

    l’Inde est un précieux témoignage sur cet extraordinaire

    berceau de la civilisation et de la spiritualité orientales.

    Peu d’écrivains européens ont connu comme Eliade

    la pensée et la poésie indiennes. Ce livre retrace son

    initiation à la civilisation indienne dans son sens le

    plus profond. L’évocation de la femme indienne et ses

    entretiens avec Tagore transmettent ses sensations les

    plus personnelles.

    o Si je pouvais trouver un sens à mon existence présente

    j’attends qu’elle se révèle à moi désormais), ce serait

    (car ma véritable existence, dont je connais le sens,

    vraisemblablement celui-ci : consumer furieusement

    mon passé, les parties de mon passé que je sens encore

    étrangères, détachées, toxiques, dans mon âme. Je

    dois affûter mon attention, la rendre assez robuste pour

    qu’elle puisse se nourrir et se délecter de vulgarité.

    Je dois dégourdir mon intelligence, trop accoutumée

    aux symboles, aux emblèmes. Ne plus mépriser le

    quotidien, le concret, l’insignifiant. Je ne sais pas très

    bien ce que je veux dire, mais je sens que j’ai raison,

    totalement raison. Et cela me suffit.

    oMircea Eliade (1907-1986) : historien des religions,

    mythologue, philosophe et romancier roumain,

    considéré comme l’un des fondateurs de l’histoire

    moderne des religions. Au centre de l’expérience

    religieuse de l’homme, Eliade situe la notion

    du « Sacré ». Sa formation d’historien et de philosophe

    l’a amené à étudier les mythes, les rêves, les visions,

    le mysticisme et l’extase. Auteur prolifique, il cherche à

    trouver une synthèse dans les thèmes qu’ila borde.

    oJ’assiste aux sacrifices funéraires faits pour le

    détachement et la paix de l’âme de la mère de D… Il

    s’est rasé – pas seulement la figure, mais aussi le crâne

    – pour la première fois depuis le décès, survenu il y a

    quatorze jours. A présent, il ressemble encore plus à

    une grenouille. Il est vêtu d’un dhotĩ ordinaire, comme

    un paysan. Il m’a obligé à en mettre un aussi, mais

    en soie. Je marche pieds nus dans la maison, ce qui

    m’aide à rêver, à imaginer que je suis qui je voudrais et

    comme je voudrais. Je me réfugie par moments dans la

    bibliothèque, où je peux rester seul et d’où je le regarde

    dehors à travers les fenêtres grillagées, avec le désir

    fou de ne plus jamais m’évader. Ce qui me ravit tout

    particulièrement, ce sont les jeunes filles et les femmes

    que je commence à voir de plus près et à connaître.

    ◊ Talisman, Valérie Canat de Chizy, poésie, L’Harmattan, 5-

    7, rue de l’Ecole-Polytechnique à F-75005 Paris, 60 pages ;

    2013 ; 12€.

    o Indiens d’Amérique du Sud ou d’Amérique du Nord,

    Dogons, Roms… autant d’évocations de peuples dont

    la richesse demeure dans la préservation de leur

    identité profonde. De ces hommes, la poète puise

    une vibration, lance une passerelle en un dialogue

    imaginaire, comme celui qui s’établit avec les morts,

    dans la tradition chamanique. Être ici, parfois dans le

    froid d’un manque de chaleur, et pouvoir se relier à

    d’autres présences, plus lointaines, en marge de notre

    monde occidentalisé, n’est-ce pas la capacité, par un

    état de vacuité intérieure, à être à l’écoute des signaux

    dont notre corps et notre esprit sont les rédempteurs ?

    La poésie participe de cette forme d’attention aux

    messages de l’invisible. Le poème est ici épuré,

    presque « nu », dans le souci d’être au plus près de

    la juste perception, de la juste présence. Comme

    ces Indiens dont la peau luit au soleil, vibrant aux

    manifestations de la nature.

    Valérie Canat de Chizy est née en 1974. Elle est

    bibliothécaire à Lyon. Depuis 2006, elle a publié une

    dizaine de recueils de poèmes et un récit.

    ◊Trois élégies,  Jacques Demaude, avec dix-huit

    compositions de Jeanne-Marie Zele, Orbes, 42/10, avenue

    Georges Henri, 1200 Bruxelles.

    ◊ Voyages encrés suivi de Les chemins contrariés, Patrick

    Navaï, poésie et encres, Carnets-Livres, 2011.  http://

    carnets-livres.over-blog.net ; carnetslivres@gmail.com

    o Dans Les Chemins contrariés, j’ai fait appel à l’acrylique

    ainsi qu’à quelques gouttes d’huile. J’ai pu ainsi faire

    surgir les formes du désarroi, désarroi qui a porté une

    ombre à ma vie de migrant.

    Dans  Voyages encrés, c’est l’encre qui coule, ou

    plutôt les encres. Le fond est à base d’aquarelle ou de

    gouache. Muni d’un petit gris, j’ai fixé de nombreux

    navires.

    Les revues suivantes :

    o L’aède n°34, printemps 2013, 12 pages A5

    Bulletin à périodicité variable

    Union des Poètes francophones

    Centre social et culturel, Mairie à F-84110 Puyméras

    http://upfpoesie.blogspace.fr

    http://pagesperso-orange.fr/upfr

    (Chris BERNARD)

    o Les Amis de l’Ardenne n°38, décembre 2012, 100 pages.

    Carte blanche aux plumes de l’Ardenne et de la Champagne

    10, rue André Dhôtel

    à F-08130 ST-LAMBERT-ET-MONT-DE-JEUX

    montdejeux@gmail.com

    http://www.lesamisdelardenne.com

    (Frédéric CHEF)

    o Bleu d’encre n°29, 58 pages A5, été 2013

    Revue littéraire en Haute-Meuse

    43, rue d’Anseremme a B-5500 Dinant

    Rencontre avec Anne Mounic

    (Claude DONNAY)

    o Le carnet et les instants n°177,

    du 1er

    Dossier : Benoît Jacques

    Portrait : Yves Namur

    Mes éditeurs et moi : Jean-Luc Outers

    Hommage : Dominique Rolin

    Lettres belges de langue française, bimestriel

    Bd Léopold II, 44 à B-1080 BRUXELLES

    carnet.instants@cfwb.be

    (Laurent MOOSEN)

    o Comme en poésie n°54, juin 2013, 84 pages A5

    Revue trimestrielle de poésie

    La poésie dans tous ses états

    2149, avenue du Tour du lac à F-40150 HOSSEGOR

    j.lesieur@orange.fr

    http://perso.orange.fr/jean-pierre.lesieur

    (Jean-Pierre LESIEUR)

    o Coup de soleil n°87/88, mars 2013, np A5, 7€

    Poésie et art

    Spécial Jean-Vincent Verdonnet : dossier de Gérard Paris

    Maison de la poésie, 12, avenue de Trésum à F-74000

    ANNECY

    (Michel DUNAND)

    o L’écritoire de Bousserez n°81, juin 2013, np A4

    L’écritoire de Bousserez rassemble des personnes aimant

    écrire, échanger des idées, jouer avec les mots…

    Les réserves naturelles

    91, rue de Bousserez à B-6769 SOMMETHONNE

    irene.jacques@live.be

    juin au 30 septembre 2013, 92p. 23 X 21

    (Irène JACQUES)

    o Fermentations, … dans le mouvement du monde ! n°2,

    avril 2013, 24 p.A4

    3, impasse du Poirier à F-39700 Rochefort-sur-Nenon

    pagesinsulaires@orange.fr

    (Jean-Michel BONGIRAUD)

    o Lecture et tradition n°25, mai 2013, 32p.A5

    Bulletin littéraire contrerévolutionnaire

    Doctrines philosophiques et systèmes politiques

    Hommage à Louis Jugnet (1913-1973)

    • 26, juin 2013, 32p. A5

    Philippe de Villiers : le roman de Charrette…

    • n°27-28, juillet-août 2013, 32p. A5

    Entretien avec Joëlle d’Abbadie

    BP 1 à F-86190 CHIRE-EN-MONTREUIL

    http://www.lecture-et-tradition.info

    sadpf.chire@gmail.com

    (Jean AUGUY)

    o Lectures françaises n°673, mai 2013, 64 pages A5

    Revue mensuelle de la politique française

    Dans quels tourbillons sommes-nous tombés ! …

    • n°674, juin 2013

    • n°675, juillet-août 2013

    Les dessous politiques de la Manif pour tous, par Pascal

    Gannat

    La crémation : quelques aspects et rappel de la position de

    l’Eglise, par Luc Perrel

    BP 1 à F-CHIRE-EN-MONTREUIL

    sadpf.chire@gmail.com

    http://www.lectures-francaises.info

    (Jean AUGUY)

    o Libelle n°244, avril 2013, 6 pages A5 – Mensuel de poésie

    116, rue Pelleport à F-75020 PARIS

    pradesmi@wanadoo.fr

    http://www.myspace.com/michelprades

    (Michel PRADES)

    o Microbe n°77, mai-juin 2013, 24 pages A6

    La revue si petite et si légère qu’elle pourrait un jour

    décoller…

    Launoy, 4 à B-6230 PONT-A-CELLES

    ericdejaeger@yahoo.fr

    (Eric DEJAEGER)

    o Plumes et pinceaux n°122, juin 2013, 44 pages A5

    Arts et poésie

    Rue du Temple 39 à B-7331 BAUDOUR

    franz.nelly@skynet.be

    (Nelly HOSTELAERT)

    o Poésie sur Seine n°83, juillet 2013, 114p. A5

    Revue trimestrielle d’actualité poétique

    Prix de la Presse poétique 2000 décerné par la Société des

    Poètes Français

    « Le ciel »

    Jean-Louis Bernard

    Jean Joubert

    Jacques Simonomis

    13, Place Charles de Gaulle à F-92210 SAINT-CLOUD

    http://www.poesie-sur-seine.com

    (Pascal DUPUY)

    o Portique n°90, avril à juin 2013, 56 pages A5

    Revue de création poétique, littéraire et artistique

    Mairie à F-84110 Puyméras

    http://portique.jimdo.com

    http://poesievivante.canalblog.com

    (Chris BERNARD)

    o Revue indépendante n°338, juillet à septembre 2013,

    54 pages 15X24

    Résidence B, 24, rue Saint-Fargeau à F-75020 PARIS

    sje_ri@yahoo.fr

    (Jeannine-Julienne BRAQUIER)