TAVERA Marie
« Née en 1974, franco-suisse, je vis en Ardèche depuis 2014. Le dessin et l’écriture sont mes outils pour regarder, questionner: Qu’est-ce que voir, percevoir, et d’où regarde-t-on? Avec quelle focale, depuis quel endroit (de soi, du monde, de nos perceptions, de nos mémoires, etc)? Entre (in)visible et (il)lisible, ce qui traverse, ce qui vient, ce qui est perçu, qui échappe. »
En quelques livres
- Sans la terre, éd. Synge, 2024,
- Tenir un sol, in Le Journal des poètes 1/2024
- Le galop de la neige, in Faire part 40-41
Tickvicki Ilona
A fait des étude de graphisme, puis d’Arts Plastiques à l’Université de Paris 8. Par la suite, elle a étudié la philosophie à l’Université de Nanterre et à l’ENS en science cognitive, cette recherche est restée chaotique et inachevée. En tant que plasticienne, elle réalise des pièces autour des notions de mémoire, d’oubli, de réel, de renouvellement de l’imaginaire. Elle réalise des photographies, des dessins et des sculptures dans des matériaux de récupération et aime avoir recours à la terre pour sa malléabilité et sa capacité à rendre l’informe préhensile.
En quelques livres
Thomas Bruno
Vit à Paris où il exerce la kinésithérapie auprès de personnes polyhandicapées. Collaborateur des Cahiers du Sens depuis 1991. Traduit en tchèque dans la revue Psi Vino de Jaroslav Kovanda. Figure aussi dans de nombreuses revues et anthologies. Membre du comité de rédaction des Cahiers de la rue Ventura, fondés en 2008 et dirigés par Claude Cailleau, du premier au dernier numéro (40 Juin 2018).
En quelques livres
- La Belle importance (1993), Au Nouvel Athanor;
- L’Endemain des larmes (1999), Au Nouvel Athanor;
- Entre l’ombre avec un avant-dire de Colette Seghers (2003);
- Pardon pour l’aurore, préfacé par Matthieu Baumier, 2014;
Thomassetie monique
« Née à Bruxelles en 1946. Dès mon enfance, j’ai aimé écrire et dessiner. Mais je ne peins plus depuis 2000; mon énergie créative est donc passée dans ma seule écriture, quotidienne. Un millier d’oeuvres plastiques (tableaux, dessins). Et, à ce jour, près de 80 livres (poèmes, contes, théâtre, etc). Textes en anthologies, en recueils collectifs ou en revues. L’expérience d’une courte amnésie suite à un accident de vélo en 1975, m’a inspiré l’un ou l’autre passage sur la mémoire, notamment dans mon conte Au tendre matin d’une éternité. »
Travacca Nadine
Née au bord de la mer, elle vit en Savoie. Nombreux textes publiés en revues papier et numérique (Arpa, Cairns, Cabaret, IHV, Mot à maux, Traversées, Poésie Première, Traction-Brabant, Portulan bleu, Poétisthme, Hélas, Lichen, Pro/p(r)ose, Ressacs..), ainsi que dans des anthologies (La chouette imprévue, Jeudi des mots, éditions PVST et Oxybia), pratique également la lecture à voix haute pour le plaisir de dire et partager les mots …des autres



