Merci à Paul Mathieu pour cette lecture de l’oeuvre de Werner Lambersy. C’est tellement vrai que le silence est à l’oeuvre dans le poème. C’est encore mieux quand le poème s’en souvient, en rend compte et y renvoie, respiration, souffle. « … Rien n’est jamais perdu tant qu’on désire cette chose qu’on ne peut posséder, … »(W. L.)
Merci de tout coeur de faire écho du livre paru chez François VanDorpe aux Déjeuners sur l’herbe.
Le livre comporte, contrairement à ce qui est indiqué (26p.), 60 pages et 55 poèmes.
Bonnes fêtes
Merci Philippe pour ce message.
Nous allons rectifier sous peu.
N’hésitez pas à nous envoyer quelques textes, comme vous l’avez d’ailleurs fait à plusieurs reprises par le passé.
Excellente année 2011,
Merci à Paul Mathieu pour cette lecture de l’oeuvre de Werner Lambersy. C’est tellement vrai que le silence est à l’oeuvre dans le poème. C’est encore mieux quand le poème s’en souvient, en rend compte et y renvoie, respiration, souffle. « … Rien n’est jamais perdu tant qu’on désire cette chose qu’on ne peut posséder, … »(W. L.)
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Merci de tout coeur de faire écho du livre paru chez François VanDorpe aux Déjeuners sur l’herbe.
Le livre comporte, contrairement à ce qui est indiqué (26p.), 60 pages et 55 poèmes.
Bonnes fêtes
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Merci Philippe pour ce message.
Nous allons rectifier sous peu.
N’hésitez pas à nous envoyer quelques textes, comme vous l’avez d’ailleurs fait à plusieurs reprises par le passé.
Excellente année 2011,
Patrice
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